Celle que j’ai adorée est aussi celle de Basquiat.
Je me suis laissée emportée dans le monde de Basquiat, un monde où la violence est là, un monde où il représente les visages d’hommes noirs martyrisés et tout son panthéon de croquis, peinture et collages.
Les « heads » montrent le martyr des noirs américains et ne donnent guère envie de s’y attardera lors qu’il en émane un sentiment de beauté mêlée à la noirceur de la vie. Malgré les tons colorés, ses yeux introvertis et se mâchoires proéminentes frappent par leur tristesse et mal être. Celle sur fond rouge fait penser à un sioux avec ses plumes rouges et blanches. Impression d’être transporté dans un monde rouages !
L’homme aux bras en l’air m’a fait penser à un enfant qui se moque des adultes ou à un basketteur après la gloire et la réussite. Mais en fait ce sont les « red cross » – représentation !
Quant au crocodile noir avec une couronne orange – j’ai kiffé comme disent les jeuns.
Et surtout Picasso jeune et vieux qui en dit long sur le trajet que l’homme mène tout au long de sa vie. Pas gai de vieillir ! Ou la maturité vient!
Et sa représentation de lui – autoportrait avec la couronne de la réussite !
Et la Tour Eiffel à Paris qui finit en fusée !
Un petit clin d’œil à mon éléphant fétiche représentation de Ganesh que je n’oublie jamais. Et sur deux tableaux, voulez-vous bien !
Et la mort, la faucheuse …..
Une exposition riche en émotion et en luminosité de son œuvre.
Décembre 2018
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