J’ai découvert à la sortie du parc Meiji-jingu un musicien qui a retenu mon attention. Il était assis sur un petit tabouret et avait sur les genoux un drôle d’instrument. La mèche au vent recouvrant une partie de son visage.
La musique était douce, planante et me ramenait aux musiques népalaises des mantras himalayens. Et puis l’instrument m’était inconnu. Une sorte de soucoupe volante avec des trous dont des sons magnifiques sortaient et m’enchantaient.
Je suis restée un bon moment à l’écouter debout. Puis je lui ai demandé son nom et lui ai acheté un CD qu’il vendait.
Un attroupement s’est formé et je suis partie comme sur un petit nuage. Il m’avait fait m’évader et me reposer.
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Enjoy !
Ah les sonorités du gang!
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Hang (correcteur d’orthographe)
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