
Par une belle matinée ensoleillée et tiède me voilà partie sur la promenade des Anglais pour rejoindre la pointe où l’on peut voir écrit Castel et surtout pour aller au Château qui domine la ville de Nice.

Le soleil dardait et la promenade des Anglais n’était pas trop envahie de touristes.

Des nageurs niçois je suppose testaient la mer et s’ébrouaient dans une eau calme et plate.

Les nuages jouaient à créer des moutons que l’on aurait presque pu compter.
De temps en temps je me posais pour regarder cette mer infinie et cette infinité où des bateaux à voile blanche voguaient et faisaient comme une danse pointue. Très pur et reposant.

Puis je m’asseyais sur les chaises bleues qui bordent la promenade proche de la mer ou plus éloignées pour prendre du recul et déguster la sérénité qui m’enrobait.

Continuant mon bonhomme de chemin je me retrouvais devant l’ascenseur qui monte au château. Pas de queue et hop en deux secondes nous voilà devant la vue de la baie des Anges. Juste magnifique !
Une vue qui absorbe toute votre attention.
Parmi les cyprès, les arbres, Nice se dévoilait dans toute sa grandeur et sa splendeur. Les montagnes verdoyantes dans le fond, la ville au premier plan qui comme une longue langue de couleur orangée se lovait entre la mer et les monts. Le tout incurvé s’offrant aux touristes et à ceux qui y vivent.



De l’autre côté les pins parasols encadraient le paysage de la mer en contrebas. On ne savait plus définir ce qui était la mer du ciel. De temps en temps des avions décollaient et faisaient un spectacle.
Puis gravissant les chemins menant à au château et à son dédale de tours faisant découvrir de très belles vues sur Nice.
Des œuvres et des mosaïques faisaient un rappel des mythes de la Grèce antique. De très beaux arbres ornaient ce lieu. Des arbres avec des feuilles jaunes non tombées et des fleurs roses jouaient sur les contrastes. Et le soleil était toujours présent.




Puis d’une tour une jolie vue sur le port de Nice om les bateaux étaient bien rangés et d’où la montagne était visible. Et l’on pouvait déceler la corniche qui mène à Beaulieu et Villefranche sur mer. Le port était d’un calme olympien.




Puis continuant mon chemin j’ai pu voir les thermes enfouis et les contourner.

Puis je suis montée sur le haut du château et là une vue à 360° de Nice et de ses environs s’offraient à mes yeux. Suffoquant ! On s’apercevait du nombre de maisons et d’immeubles qui parsème la ville eet les contreforts des montagnes. Impressionnant !
Mais la vue sur la baie incurvée attirait mes yeux et me captivait.





Et puis tranquillement j’ai repris le chemin inverse, me suis attardée pour prendre un café et entendre le canon de midi tirer et faire peur aux touristes comme aux pigeons …. Et là panique à bord les gens se demandant ce qui se passait !
Je suis redescendue par le même ascenseur et là la queue pour monter faisait plus de 200 mètres. Et j’ai filé dans la vieille ville et au marché pour déjeuner d’un aïoli.
Juste pour la petite histoire et la légende : Une tradition qui perdure depuis des années. « En 1862, l’Ecossais et noble Sir Thomas Coventry mangeait chez lui avec ses officiers à Nice. Comme sa femme était souvent en retard, il a utilisé le coup de canon comme signal pour qu’elle revienne à la maison et lui fasse à manger.
Et pour l’histoire du château voici quelques éléments : Les Grecs phocéens y établirent leurs comptoirs. De nos jours, un grand parc paysager au cœur du Vieux-Nice, la colline du Château tient son nom de l’imposante fortification qui y était construite et qui fut détruite par Louis XIV en 1706. La ville médiévale y prenait place tout entière avant que l’habitat ne s’étende en contrebas (à partir du XIIe siècle). On y trouvait en particulier le palais des comtes de Provence et la cathédrale, deux éléments majeurs de la ville médiévale que les fouilles archéologiques que s’attachent à redécouvrir.
A découvrir pour les vues sur Nice.
Paris le 1er janvier 2024.
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